Browsing Category

Evènement

Cultivons les droits paysans

Affiche Cultivons les Droits

Pour cette rentrée, nos apportons nos graines pour le changement radical de systèmes et logiques dominants destructifs de la planète et de la vie.

Dans le cadre de Grenoble Capital Verte, avec nos partenaires, nous sommes heureux de vous annoncer : Exposition, concert, projection-débats, formations et discussions, alliant paroles engagées, poétiques et musicales, sur la Déclaration des Droits Paysans votée à l’ONU en 2018. Cette Déclaration est le fruit du travail d’écriture, pendant 17 ans, de paysan.nes à travers le monde, pour créer un outil juridique vers un avenir commun. 

C’est autour d’une exposition, conçue comme un dispositif pédagogique, qu’une question s’impose : « Sans Paysans, Sans Paysannes, On mange quoi ? ». De là, l’invitation à agir :

« Cultivons leurs Droits ! »

Nous souhaitons faire connaître la Déclaration des Droits Paysans et accéder de manières différentes à un ample public en abordant de façon sensible et critique ce thème fondamental.

J’agis !

« …J’ai en moi plus de plusieurs, je suis une mais je ne suis pas seule ! »

…Tenho em mim mais de muitos, sou uma mais não sou só !”

Povoada, Sued Nunes

Programme des activités :

  • Du 10 au 28 octobre à la Maison de l’International de Grenoble : Exposition Cultivons les Droits Paysans
  • Vendredi 7 octobre à 18h à la MdH Chorier-Berriat : Atelier Produire ses graines soi-même
  • Mercredi 12 octobre à 18h30 à la Maison de l’International : Inauguration de l’exposition Performances musicales et poétiques : In-Droits Poétiques et Voix de Droits
  • Vendredi 14 octobre à 18h30 à la MdH Chorier-Berriat : Ecosystèmes et Culture Alimentaire  – Projection/débat. Avec le témoignage présentiel de Bernadette Badio (Côte d’Ivoire)
  • Mardi 18 octobre à 18h à la Maison de l’International : Visite guidée de l’exposition en Français, Portugais et Espagnol
  • Mercredi 19 octobre à 17h30 à l’Université Grenoble Alpes – salle de séminaire 2 – Bâtiment IMAG : Ecosystèmes et Cultures Alimentaires au Brésil Projection et échanges autour d’une dégustation de saveurs brésiliennes et colombiennes.

Téléchargements : Affiche et Programme

Co-organisation : Lado Brasil, Comité Solidarités Paysannes Internationales – FAL et Jardins Vivants.

Projet dans le cadre de Grenoble Capital Verte Européenne 2022


Atelier Produire ses graines soi-même

Photo : Regina Trindade

Formation

Vendredi 07/10 de 18h à 21h à la MDH Chorier Berriat – Grenoble

Animée par Meiyna VERNET – formatrice en agroécologie

L’article 7 de la Déclaration de Droits Paysans porte sur les Droits aux Semences. En écho avec cet article et par « la prise de conscience de l’importance de prendre des mesures appropriées pour appuyer les systèmes de semences paysannes et favoriser l’utilisation des semences paysannes et l’agrobiodiversité », Jardins Vivants propose cette formation qui porte sur : Comment produire des semences de qualité, accroître la biodiversité et gagner en autonomie et en partage dans nos jardins.

Un temps de formation, pour dynamiser l’utilisation des boîtes à graines, permettre aux jardiniers de monter en compétences sur ce sujet et favoriser les liens entre jardiniers et jardins. Au programme : Historique et enjeux – Biologie des plantes, principales familles de plantes potagères – Connaissances de bases pour produire des semences – Observations de porte-graines – Extraction et tri de semences – Conservation et stockage – Echanges de graines

Formation gratuite, inscription avant le 5 octobre 2022 à la MDH Chorier Berriat ou auprès de Meiyna Vernet (jardinsvivants@gmail.com). Nombre maximum : 15 personnes

Cette action est reliée à d’autres rencontres, sur le thème « Ecosystèmes et Cultures Alimentaires », qui prendront place dans le cadre du Mois de la Transition Alimentaire et de Grenoble Capitale Verte 2022.


Inauguration de l’exposition

Photo : Luciana Roça

Performances musicales et poétiques

In-Droits Poétiques et Voix de Droits

Mercredi 12 octobre 18h30 à la Maison de l’International de Grenoble

Une expérimentation artistique hybride, chantée et poétisée, tissant des liens avec les articles de la Déclaration des Droits Paysans votée à l’ONU en 2018.

Le musicien Guilherme Bellardi et la chanteuse Tatiane Vilarinho nous engagent dans un répertoire brésilien connecté à la terre et aux luttes pour sa défense. Une lutte de l’humanité entière. Luciana Roça, artiste visuelle, dessine des espaces aux voix multiples. Elle compose avec des images et des sonorités pour créer ainsi un jeu de textures. L’artiste Regina Trindade se laisse traversée par des musiques, images, et articles de la Déclaration qui révèlent les conquêtes et les revendications de sujets agissants dans la société et qui contribuent à rendre visible des questions environnementales urgentes. Pour l’inauguration de l’exposition, cette performance musicale se mêle à la performance poétique Voix de Droits du rhapsode Yves Gaudin qui déploie textes, rythmes, sonorités dans des langues du monde, pour nous plonger au cœur de la Déclaration.

En résonance avec voix et mondeS d’ici et d’ailleurS, cette soirée d’ouverture entrelace interpellations politiques et poétiques.

Coordination artistique – projet Cultivons les Droits Paysans : Regina Trindade

In-Droits Poétiques : Création collective de Regina Trindade, Luciana Roça, Guilherme Bellardi et Tatiana Vilarinho, en dialogue et complicité avec Danièle Coll, Meiyna Vernet et Brigitte Neyton

Guitarre : Guilherme Bellardi /Voix : Tatiane Vilarinho/Création vidéo : Luciana Roça

Re-Lectures : Regina Trindade

Voix de Droits – performance poétique de Yves Gaudin


Ecosystèmes et Culture Alimentaire

Photo : MMTR-NE

Projection/débat

Vendredi 14 octobre 18h30 à la MDH Chorier Berriat à Grenoble

Projections vidéo sur les luttes de femmes paysannes et indigènes au Brésil. Témoignage présentiel de Bernadette Badjo (Côte d’Ivoire).

Fernanda Kaingáng, Tainá Marajoara et Verônica Santana sont co-organisatrices du Cycles de vidéoconférences «  Les femmes en première ligne pour la souveraineté alimentaire ». Elles se mobilisent pour construire la souveraineté alimentaire basée sur l’affirmation de la démocratie, de l’autonomie des peuples et de l’agro écologie paysanne familiale.

Une opportunité d’entendre leur voix, connaitre la richesse de leur pensées et de soutenir leurs luttes et cultures respectives.

Bernadette Badjo a été bercée par les histoires racontées par sa famille dans une ambiance qui l’a marquée : celle d’une forêt en Côte d’Ivoire où son père tenait une plantation de cacao. Elle a fait de cette culture orale la recherche de toute une vie.

Un buffet sera proposé pour soutenir les luttes de femmes brésiliennes.

En Partenariat  avec : COGESIMO , Lado Brasil, FAL – Solidarités Paysannes internationales et Jardins Vivants.

Dans le cadre du Mois de la Transition Alimentaire


Ecosystèmes et Cultures Alimentaires au Brésil

Projection et échanges

Mercredi 19 octobre 17h30 à 19h30 – Saint Martin d’Hères – Université Grenoble Alpes – salle de séminaire 2 – Bâtiment IMAG – 700, avenue centrale

L’entrée est libre, dans la limite de la capacité de la salle (50 places)

Projection et échanges autour du Cycle Femmes en première ligne pour la souveraineté alimentaire

Au Brésil, alimentation et agriculture font l’objet de nombreuses mobilisations culturelles et politiques. Les femmes sont en première ligne de ces luttes pour la souveraineté et la culture alimentaire et l’agroécologie.

Pour explorer les enjeux autour des écosystèmes et de la culture alimentaire au Brésil, nous

vous proposons un temps d’échange autour du témoignage-vidéo de femmes indigènes et paysannes : Fernanda Kaingáng, Verônica Santana et Tainá Marajoara. Elles y évoquent leurs actions concernant la lutte pour la culture alimentaire, l’agriculture familiale, l’agroécologie, la souveraineté alimentaire, le patrimoine alimentaire des peuples traditionnels, indigènes et des paysan.e.s brésilien.ne.s.

Par la suite, les échanges seront animés par un collectif d’associations grenobloises, autour

d’une dégustation de saveurs brésiliennes et colombiennes.


Co-organisation :

Comité Solidarités Paysannes Internationales – FAL, Lado Brasil et Jardins Vivants

Echanges autour des droits paysans

Le dimanche 22 mai, on s’installe à la Fête du Jardin La Flèche pour un moment d’échange sur le droit à la terre, aux semences, à la biodiversité, et plusieurs droits collectifs des paysans.

Nous sommes dans un processus de création poétique/politique autour de la Déclaration des Nations Unies sur les Droits des Paysan.ne.s et autres personnes travaillant dans les zones rurales et nous aimerions en parler avec vous.

Nous vous proposons un lieu de partage et de rencontre (et également une corde à textes pour partager ce qui vous inspire ! ). N’hésitez pas à prendre une chaise, à vous asseoir avec nous pour prendre un maté. On fait connaissance, on bavarde, on échange, on s’écoute…

 Je suis Regina, je suis artiste, art-éducatrice, ma pratique artistique est à l’entrecroisement de l’art et la biologie dans le contexte de l’engagement militant, et questionne les relations vie/vivant/nature.

Je suis Luciana, je transite entre l’audiovisuel et les études urbaines, je m’investis dans le domaine de l’ambiance sonore et de ses écritures.

Cette démarche est soutenue par l’Association Lado Brasil et le Comité Solidarités Paysannes Internationales.

La Flèche en Fête

Invitation Fête La Flèche

C’est avec plaisir que nous vous convions à la fête du Jardin et Compost La Flèche ce dimanche 22 mai de 10h à 15h. Au programme : visites, présentations, ateliers… et nous pourrons partager un pique-nique tiré du sac.

Mobilisations politiques pour la souveraineté alimentaire : les femmes replantent des sentiers

Nous avons le plaisir de vous annoncer notre deuxième cycle de vidéoconférence Femmes en première ligne pour la souveraineté alimentaire dans le cadre du mois de la transition alimentaire.

Pour clore le cycle de vidéoconférences de cette année, samedi 13 novembre, (19h France – 15h Brésil) Fernanda Kaingáng, Tainá Marajoara et Verônica Santana évoquent les mobilisations politiques au Brésil menées par les femmes indigènes et les travailleuses rurales. Elles dialoguent avec des femmes en France, engagées dans la lutte pour la souveraineté alimentaire et pour faire connaitre à travers la France cet outil de lutte pour l’avenir commun que représente la Déclaration des droits des paysans de l’ONU.

Vous pourrez assister à la vidéoconférence sur la chaine Youtube de Lado Brasil https://bit.ly/3A62MJi  et www.facebook.com/assoladobrasil

Ce cycle se déroule dans un contexte d’échanges internationaux de savoirs et de solidarité avec les peuples indigènes et les producteurs ruraux d’Amérique Latine. Une opportunité de connaître leurs réalités et l’organisation de leurs résistances basée sur la transmission de savoirs et sur la construction du Bien Vivre. Une passerelle pour penser des questions essentielles de la souveraineté alimentaire.

En 2021, le Cycle Brésil/France : « LES FEMMES EN PREMIERE LIGNE POUR LA SOUVERAINETE ALIMENTAIRE » aura lieu dans le cadre de la Caravane des Droits Paysans et du Monde rural.

Ce cycle de rencontres en ligne est proposé par Lado Brasil en partenariat avec les organisations brésiliennes Ponto de Cultura Som dos Maracás, Instituto Indígena Brasileiro para Propriedade Intelectual (INBRAPI), Ponto de Cultura Alimentar Iacitatá et Movimento de Mulheres Trabalhadoras Rurais do Nordeste-MMTR-NE.
Co-organisateurs en France : Collectif Autonomie Alimentaire Grenoble, Lado Brasil, Comité Solidarités Paysannes Internationales – France Amérique Latine-FAL

Partenaire : Maison de l’International – Ville de Grenoble Ville de Grenoble

Vous pouvez soutenir les organisations partenaires brésiliennes en faisant un don sur le site HelloAsso :

Propulsé par HelloAsso

Vos contributions seront partagées entre les trois organisations brésiliennes liées aux intervenantes et co-organisatrices du cycle « Les femmes en première ligne pour la souveraineté alimentaire »

Soutenez le peuple Kaingáng du territoire indigène Serrinha en signant la pétition sur change.org

Nos invitées :

TAINÁ MARAJOARA porte l’ascendance du peuple Aruã Marajoara, Amazonie. Elle est cheffe cuisinière, directrice culturelle, fondatrice du Point de Culture Alimentaire IACITATA et directrice du projet CATA – Culture Alimentaire Traditionnelle Amazonienne – de l’ONG Amazônia Viva. Figure de proue du Réseau de Culture Alimentaire. Elle s’engage dans une lutte intense pour légitimer des savoirs alternatifs à partir de la « Culture Alimentaire », concept qu’elle défend en tant qu’une « épistémologie » alternative, une lutte et une pratique.

Tainá Marajora est chercheuse membre du NEHO – Nucléo de Estudos en História Oral da USP, est membre de LASA – Latin American Studies Association ; Membre fondateur du Réseau de la culture alimentaire amazonienne – Réseau RAMA de la campagne permanente contre les pesticides et pour la vie ; Membre du Forum brésilien sur la sécurité et la souveraineté alimentaire, Forum national de lutte contre les effets des pesticides ; Membre de ANA – AMAZONIE, Articulation nationale de l’agroécologie/Amazonie ; Coordination nationale de Banquetaço ; Coordination de la Conférence populaire sur la sécurité et la souveraineté alimentaires ; Membre de la Chambre technique de la production biologique. Coopération Allemagne et État du Pará.

FERNANDA KAINGANG appartient au Peuple Kaingáng du Sud du Brésil. Avocate militante au sein du mouvement autochtone depuis 2000. Spécialiste en droits des peuples amérindiens et protection du patrimoine culturel, matériel et immatériel. Conseillère juridique d’organisations amérindiennes et consultante pour des organismes de coopération internationale et différents organes des Nations Unies, Fernanda Kaingang est Membre fondatrice et directrice exécutive de l’Institut indigène brésilien pour la propriété intellectuelle (INBRAPI) et conseillère juridique pour les organisations indigènes dans les cinq régions du Brésil. Elle travaille avec les Points de Culture Kanhgág Jãre et Som dos Maracás dans l’État du Rio Grande do Sul.

Fernanda a a été consultante pour la Coopération allemande (GIZ) de novembre 2011 à novembre 2012 sur le thème de l’accès et de la protection des savoirs traditionnels, des ressources génétiques et de la répartition juste et équitable des avantages tirés de leur utilisation. Depuis 2004, elle participe aux réunions de la Convention sur la diversité biologique (CDB), au sein des Nations Unies (ONU).

VERÔNICA SANTANA Agricultrice, éducatrice populaire féministe, militante des mouvements et collectifs féministes travaillant dans le domaine de l’agroécologie, du féminisme rural et de la mobilisation politique. Elle est militante du Mouvement des femmes travailleuses rurales du Nord-Est, œuvrant dans les États du Nord-Est et occupant divers espaces institutionnels de dimension nationale et internationale. Ancien membre de la Commission nationale d’agroécologie et de production biologique – CNAPO et conseillère du Conseil national de la sécurité alimentaire et nutritionnelle – CONSEA lors du dernier mandat.

Au sein du Mouvement des Femmes Travailleuse Rurales du Nordeste MMRT-NE, elle lutte contre les mentalités de soumission et s’engage dans l’organisation et la mobilisation des femmes rurales. Elle agit dans les luttes pour la reconnaissance des travailleurs ruraux, pour la participation des femmes à la politique, et en défense de la souveraineté alimentaire, de l’agroécologie et de l’autonomie des peuples. Elle participe avec le Mouvement des Femmes Rurales du Nordeste à la mise en place de politiques publiques en faveur de l’agriculture familiale et des femmes.  

Souveraineté alimentaire en temps de pandémie

Nous avons le plaisir de vous annoncer notre deuxième cycle de vidéoconférence Femmes en première ligne pour la souveraineté alimentaire dans le cadre du mois de la transition alimentaire.

La pandémie de COVID-19 a accentué la crise politique, économique et sociale, notamment en ce qui concerne la souveraineté alimentaire. Le 30 octobre, (19h France – 14h Brésil) Fernanda Kaingáng, Tainá Marajoara et Verônica Santana, ouvrent la discussion des multiples dimensions de la crise COVID-19 dans le domaine de la souveraineté alimentaire. Elles dialoguent à partir de leurs contextes respectifs de luttes et résistances, face à un Brésil considéré encore comme le grenier du monde, du point de vue du capital et de l’agrobusiness.

Vous pourrez assister à la vidéoconférence sur la chaine Youtube de Lado Brasil https://bit.ly/3A62MJi  et www.facebook.com/assoladobrasil

Ce cycle se déroule dans un contexte d’échanges internationaux de savoirs et de solidarité avec les peuples indigènes et les producteurs ruraux d’Amérique Latine. Une opportunité de connaître leurs réalités et l’organisation de leurs résistances basée sur la transmission de savoirs et sur la construction du Bien Vivre. Une passerelle pour penser des questions essentielles de la souveraineté alimentaire.

En 2021, le Cycle Brésil/France : « LES FEMMES EN PREMIERE LIGNE POUR LA SOUVERAINETE ALIMENTAIRE » aura lieu dans le cadre de la Caravane des Droits Paysans et du Monde rural.

Ce cycle de rencontres en ligne est proposé par Lado Brasil en partenariat avec les organisations brésiliennes Ponto de Cultura Som dos Maracás, Instituto Indígena Brasileiro para Propriedade Intelectual (INBRAPI), Ponto de Cultura Alimentar Iacitatá et Movimento de Mulheres Trabalhadoras Rurais do Nordeste-MMTR-NE.
Co-organisateurs en France : Collectif Autonomie Alimentaire Grenoble, Lado Brasil, Comité Solidarités Paysannes Internationales – France Amérique Latine-FAL

Partenaire : Maison de l’International – Ville de Grenoble Ville de Grenoble

Vous pouvez soutenir les organisations partenaires brésiliennes en faisant un don sur le site HelloAsso :

Propulsé par HelloAsso

Vos contributions seront partagées entre les trois organisations brésiliennes liées aux intervenantes et co-organisatrices du cycle « Les femmes en première ligne pour la souveraineté alimentaire »

Soutenez le peuple Kaingáng du territoire indigène Serrinha en signant la pétition sur change.org

Nos invitées :

TAINÁ MARAJOARA porte l’ascendance du peuple Aruã Marajoara, Amazonie. Elle est cheffe cuisinière, directrice culturelle, fondatrice du Point de Culture Alimentaire IACITATA et directrice du projet CATA – Culture Alimentaire Traditionnelle Amazonienne – de l’ONG Amazônia Viva. Figure de proue du Réseau de Culture Alimentaire. Elle s’engage dans une lutte intense pour légitimer des savoirs alternatifs à partir de la « Culture Alimentaire », concept qu’elle défend en tant qu’une « épistémologie » alternative, une lutte et une pratique.

Tainá Marajora est chercheuse membre du NEHO – Nucléo de Estudos en História Oral da USP, est membre de LASA – Latin American Studies Association ; Membre fondateur du Réseau de la culture alimentaire amazonienne – Réseau RAMA de la campagne permanente contre les pesticides et pour la vie ; Membre du Forum brésilien sur la sécurité et la souveraineté alimentaire, Forum national de lutte contre les effets des pesticides ; Membre de ANA – AMAZONIE, Articulation nationale de l’agroécologie/Amazonie ; Coordination nationale de Banquetaço ; Coordination de la Conférence populaire sur la sécurité et la souveraineté alimentaires ; Membre de la Chambre technique de la production biologique. Coopération Allemagne et État du Pará.

FERNANDA KAINGANG appartient au Peuple Kaingáng du Sud du Brésil. Avocate militante au sein du mouvement autochtone depuis 2000. Spécialiste en droits des peuples amérindiens et protection du patrimoine culturel, matériel et immatériel. Conseillère juridique d’organisations amérindiennes et consultante pour des organismes de coopération internationale et différents organes des Nations Unies, Fernanda Kaingang est Membre fondatrice et directrice exécutive de l’Institut indigène brésilien pour la propriété intellectuelle (INBRAPI) et conseillère juridique pour les organisations indigènes dans les cinq régions du Brésil. Elle travaille avec les Points de Culture Kanhgág Jãre et Som dos Maracás dans l’État du Rio Grande do Sul.

Fernanda a a été consultante pour la Coopération allemande (GIZ) de novembre 2011 à novembre 2012 sur le thème de l’accès et de la protection des savoirs traditionnels, des ressources génétiques et de la répartition juste et équitable des avantages tirés de leur utilisation. Depuis 2004, elle participe aux réunions de la Convention sur la diversité biologique (CDB), au sein des Nations Unies (ONU).

VERÔNICA SANTANA Agricultrice, éducatrice populaire féministe, militante des mouvements et collectifs féministes travaillant dans le domaine de l’agroécologie, du féminisme rural et de la mobilisation politique. Elle est militante du Mouvement des femmes travailleuses rurales du Nord-Est, œuvrant dans les États du Nord-Est et occupant divers espaces institutionnels de dimension nationale et internationale. Ancien membre de la Commission nationale d’agroécologie et de production biologique – CNAPO et conseillère du Conseil national de la sécurité alimentaire et nutritionnelle – CONSEA lors du dernier mandat.

Au sein du Mouvement des Femmes Travailleuse Rurales du Nordeste MMRT-NE, elle lutte contre les mentalités de soumission et s’engage dans l’organisation et la mobilisation des femmes rurales. Elle agit dans les luttes pour la reconnaissance des travailleurs ruraux, pour la participation des femmes à la politique, et en défense de la souveraineté alimentaire, de l’agroécologie et de l’autonomie des peuples. Elle participe avec le Mouvement des Femmes Rurales du Nordeste à la mise en place de politiques publiques en faveur de l’agriculture familiale et des femmes.  

SEMENCES ancestralité et possibilités de futur

Image videoconf Semences

Nous avons le plaisir de vous annoncer notre deuxième cycle de vidéoconférence Femmes en première ligne pour la souveraineté alimentaire dans le cadre du mois de la transition alimentaire.

Samedi 16 octobre, à l’occasion de la Journée Mondiale de l’Alimentation, rendez-vous à 19h avec Verônica Santana, Taina Marajoara et Fernanda Kaingang en direct du Brésil.

Vous pourrez assister à la projection de la vidéoconférence suivie d’un débat à la Maison de l’International ou nous suivre sur la chaine Youtube de Lado Brasil https://bit.ly/3A62MJi  et www.facebook.com/assoladobrasil

Ce cycle se déroule dans un contexte d’échanges internationaux de savoirs et de solidarité avec les peuples indigènes et les producteurs ruraux d’Amérique Latine. Une opportunité de connaître leurs réalités et l’organisation de leurs résistances basée sur la transmission de savoirs et sur la construction du Bien Vivre. Une passerelle pour penser des questions essentielles de la souveraineté alimentaire.

En 2021, le Cycle Brésil/France : « LES FEMMES EN PREMIERE LIGNE POUR LA SOUVERAINETE ALIMENTAIRE » aura lieu dans le cadre de la Caravane des Droits Paysans et du Monde rural.

Ce cycle de rencontres en ligne est proposé par Lado Brasil en partenariat avec les organisations brésiliennes Ponto de Cultura Som dos Maracás, Instituto Indígena Brasileiro para Propriedade Intelectual (INBRAPI), Ponto de Cultura Alimentar Iacitatá et Movimento de Mulheres Trabalhadoras Rurais do Nordeste-MMTR-NE.
Co-organisateurs en France : Collectif Autonomie Alimentaire Grenoble, Lado Brasil, Comité Solidarités Paysannes Internationales – France Amérique Latine-FAL

Partenaire : Maison de l’International – Ville de Grenoble Ville de Grenoble

Vous pouvez soutenir les organisations partenaires brésiliennes en faisant un don sur le site HelloAsso :

Propulsé par HelloAsso

Vos contributions seront partagées entre les trois organisations brésiliennes liées aux intervenantes et co-organisatrices du cycle « Les femmes en première ligne pour la souveraineté alimentaire »

Soutenez le peuple Kaingáng du territoire indigène Serrinha en signant la pétition sur change.org

Nos invitées :

TAINÁ MARAJOARA porte l’ascendance du peuple Aruã Marajoara, Amazonie. Elle est cheffe cuisinière, directrice culturelle, fondatrice du Point de Culture Alimentaire IACITATA et directrice du projet CATA – Culture Alimentaire Traditionnelle Amazonienne – de l’ONG Amazônia Viva. Figure de proue du Réseau de Culture Alimentaire. Elle s’engage dans une lutte intense pour légitimer des savoirs alternatifs à partir de la « Culture Alimentaire », concept qu’elle défend en tant qu’une « épistémologie » alternative, une lutte et une pratique.

Tainá Marajora est chercheuse membre du NEHO – Nucléo de Estudos en História Oral da USP, est membre de LASA – Latin American Studies Association ; Membre fondateur du Réseau de la culture alimentaire amazonienne – Réseau RAMA de la campagne permanente contre les pesticides et pour la vie ; Membre du Forum brésilien sur la sécurité et la souveraineté alimentaire, Forum national de lutte contre les effets des pesticides ; Membre de ANA – AMAZONIE, Articulation nationale de l’agroécologie/Amazonie ; Coordination nationale de Banquetaço ; Coordination de la Conférence populaire sur la sécurité et la souveraineté alimentaires ; Membre de la Chambre technique de la production biologique. Coopération Allemagne et État du Pará.

FERNANDA KAINGANG appartient au Peuple Kaingáng du Sud du Brésil. Avocate militante au sein du mouvement autochtone depuis 2000. Spécialiste en droits des peuples amérindiens et protection du patrimoine culturel, matériel et immatériel. Conseillère juridique d’organisations amérindiennes et consultante pour des organismes de coopération internationale et différents organes des Nations Unies, Fernanda Kaingang est Membre fondatrice et directrice exécutive de l’Institut indigène brésilien pour la propriété intellectuelle (INBRAPI) et conseillère juridique pour les organisations indigènes dans les cinq régions du Brésil. Elle travaille avec les Points de Culture Kanhgág Jãre et Som dos Maracás dans l’État du Rio Grande do Sul.

Fernanda a a été consultante pour la Coopération allemande (GIZ) de novembre 2011 à novembre 2012 sur le thème de l’accès et de la protection des savoirs traditionnels, des ressources génétiques et de la répartition juste et équitable des avantages tirés de leur utilisation. Depuis 2004, elle participe aux réunions de la Convention sur la diversité biologique (CDB), au sein des Nations Unies (ONU).

VERÔNICA SANTANA Agricultrice, éducatrice populaire féministe, militante des mouvements et collectifs féministes travaillant dans le domaine de l’agroécologie, du féminisme rural et de la mobilisation politique. Elle est militante du Mouvement des femmes travailleuses rurales du Nord-Est, œuvrant dans les États du Nord-Est et occupant divers espaces institutionnels de dimension nationale et internationale. Ancien membre de la Commission nationale d’agroécologie et de production biologique – CNAPO et conseillère du Conseil national de la sécurité alimentaire et nutritionnelle – CONSEA lors du dernier mandat.

Au sein du Mouvement des Femmes Travailleuse Rurales du Nordeste MMRT-NE, elle lutte contre les mentalités de soumission et s’engage dans l’organisation et la mobilisation des femmes rurales. Elle agit dans les luttes pour la reconnaissance des travailleurs ruraux, pour la participation des femmes à la politique, et en défense de la souveraineté alimentaire, de l’agroécologie et de l’autonomie des peuples. Elle participe avec le Mouvement des Femmes Rurales du Nordeste à la mise en place de politiques publiques en faveur de l’agriculture familiale et des femmes.  

Caravane des Droits Paysans et du Monde Rural

Nous sommes heureux d’être partenaire de cette Caravane !

Le 17 décembre 2018, une avancée historique pour les droits humains, pour l’agriculture de demain et pour la sauvegarde des ressources naturelles et de la biodiversité : La « Déclaration des Nations Unies sur les Droits des Paysan.e.s et des personnes travaillant en zone rurale » est adoptée à l’Assemblée générale des Nations Unies par 122 pays.

Une Déclaration encore méconnue en France. C’est pourquoi, la « Caravane des Droits Paysans et du Monde Rural » sillonnera la France tout l’été 2021. Elle montrera aussi que les questions auxquelles sont confrontées les paysan.e.s à travers le monde ont bien des points communs malgré leurs différences géographiques et culturelles.

Mardi 3 août au Parc Paul Mistral de Grenoble à partir de 17h00

17h00 – Accueil de la Caravane en présence des élu.es

17h30 – Animations, jeux et exposition autour des droits paysans

18h30 – Dansons avec Céline Perroud, chorégraphe de l’association Rotations Culturelles,valorisant depuis 15 ans l’agriculture paysanne par l’art

20h00 – Partageons une soupe au chaudron de la Ferme Gabert

Venez nombreux.ses !

Contact :

Brigitte Neyton – 06.82.27.93.02

falsolidaritespaysannes@protonmail.com

https://www.facebook.com/lesdroitspaysanscestnotreavenir/

AGROBUSINESS, BIG-FARMS ET EXTERMINATIONS DES PEUPLES ET DES ECOSYSTEMES

Vendredi 6 novembre 2020 à 19h : Vidéoconférence en portugais avec traduction en français.

3ème vidéoconférence du Cycle
“Les femmes en première ligne pour la souveraineté alimentaire »

Une opportunité pour déconfiner nos pensées critiques et stimuler notre capacité créative pour faire avancer les réflexions et actions sur la défense du vivant et sur l’autonomie alimentaire. TAINÁ MARAJOARA, FERNANDA KAINGANG et VERÔNICA SANTANA poursuivent la discussion autour de leurs actions au Brésil concernant la lutte pour l’agriculture familiale, l’agroécologie, la souveraineté alimentaire, le patrimoine alimentaire des peuples indigènes et des paysannes brésiliennes. Les intervenantes développeront les solutions qu’elles mettent en place et sur lesquelles nous pourrons échanger. Leurs échanges permettront de situer les impacts des grandes compagnies sur leurs modèles ancestraux et traditionnels ainsi que sur toute la vie de la planète.

Avec la participation de EMILIE LOISON de la Confédération Paysanne des Bouches-du-Rhône – France.

Le Cycle de rencontres online est proposé par Lado Brasil en partenariat avec les organisations brésiliennes: « Ponto de Cultura Som dos Maracás- Instituto Indígena Brasileiro para Propriedade Intelectual (INBRAPI), Ponto de Cultura Alimentar Iacitatá et Movimento de Mulheres Trabalhadoras Rurais do Nordeste-MMTR-NE.

Co-organisateurs en France : Collectif Autonomie Alimentaire Grenoble (dont Lado Brasil fait partie), France Amérique Latine-FAL – Comité Solidarités Paysannes Internationales

Partenaires : Maison de la Nature et de l’environnement de l’Isère; Confédération Paysanne et Colectivo Zompopo

La vidéoconférence sera transmise sur les réseaux sociaux, accessible en ligne à tout public

Diffusion sur :

Vous pouvez soutenir les organisations partenaires brésiliennes en faisant un don sur le site HelloAsso :

Propulsé par HelloAsso

Vos contributions seront partagées entre les trois organisations brésiliennes liées aux intervenantes et co-organisatrices du cycle « Les femmes en première ligne pour la souveraineté alimentaire »

Nos invitées :

TAINÁ MARAJOARA porte l’ascendance du peuple Aruã Marajoara, Amazonie. Elle est cheffe cuisinière, directrice culturelle, fondatrice du Point de Culture Alimentaire IACITATA et directrice du projet CATA – Culture Alimentaire Traditionnelle Amazonienne – de l’ONG Amazônia Viva. Figure de proue du Réseau de Culture Alimentaire. Elle s’engage dans une lutte intense pour légitimer des savoirs alternatifs à partir de la « Culture Alimentaire », concept qu’elle défend en tant qu’une « épistémologie » alternative, une lutte et une pratique

Tainá Marajora est chercheuse membre du NEHO – Nucléo de Estudos en História Oral da USP, est membre de LASA – Latin American Studies Association ; Membre fondateur du Réseau de la culture alimentaire amazonienne – Réseau RAMA de la campagne permanente contre les pesticides et pour la vie ; Membre du Forum brésilien sur la sécurité et la souveraineté alimentaire, Forum national de lutte contre les effets des pesticides ; Membre de ANA – AMAZONIE, Articulation nationale de l’agroécologie/Amazonie ; Coordination nationale de Banquetaço ; Coordination de la Conférence populaire sur la sécurité et la souveraineté alimentaires ; Membre de la Chambre technique de la production biologique. Coopération Allemagne et État du Pará.

FERNANDA KAINGANG appartient au Peuple Kaingáng du Sud du Brésil. Avocate militante au sein du mouvement autochtone depuis 2000. Spécialiste en droits des peuples amérindiens et protection du patrimoine culturel, matériel et immatériel. Conseillère juridique d’organisations amérindiennes et consultante pour des organismes de coopération internationale et différents organes des Nations Unies, Fernanda Kaingang est Membre fondatrice et directrice exécutive de l’Institut indigène brésilien pour la propriété intellectuelle (INBRAPI) et conseillère juridique pour les organisations indigènes dans les cinq régions du Brésil. Elle travaille avec les Points de Culture Kanhgág Jãre et Som dos Maracás dans l’État du Rio Grande do Sul

Fernanda a été consultante pour la Coopération allemande (GIZ) de novembre 2011 à novembre 2012 sur le thème de l’accès et de la protection des savoirs traditionnels, des ressources génétiques et de la répartition juste et équitable des avantages tirés de leur utilisation. Depuis 2004, elle participe aux réunions de la Convention sur la diversité biologique (CDB), au sein des Nations Unies (ONU).

VERÔNICA SANTANA Agricultrice, éducatrice populaire féministe, militante des mouvements et collectifs féministes travaillant dans le domaine de l’agroécologie, du féminisme rural et de la mobilisation politique. Elle est militante du Mouvement des femmes travailleuses rurales du Nord-Est, œuvrant dans les États du Nord-Est et occupant divers espaces institutionnels de dimension nationale et internationale. Ancien membre de la Commission nationale d’agroécologie et de production biologique – CNAPO et conseillère du Conseil national de la sécurité alimentaire et nutritionnelle – CONSEA lors du dernier mandat.

Au sein du Mouvement des Femmes Travailleuse Rurales du Nordeste MMRT-NE, elle lutte contre les mentalités de soumission et s’engage dans l’organisation et la mobilisation des femmes rurales. Elle agit dans les luttes pour la reconnaissance des travailleurs ruraux, pour la participation des femmes à la politique, et en défense de la souveraineté alimentaire, de l’agroécologie et de l’autonomie des peuples. Elle participe avec le Mouvement des Femmes Rurales du Nordeste à la mise en place de politiques publiques en faveur de l’agriculture familiale et des femmes.  

EMILIE LOISON de la Confédération Paysanne des Bouches-du-Rhône – France.

POISON ou ALIMENT

Vendredi 30 octobre 2020 à 19h : Vidéoconférence en portugais avec traduction en français.

2ème vidéoconférence du Cycle
“Les femmes en première ligne pour la souveraineté alimentaire »

TAINÁ MARAJOARA, FERNANDA KAINGANG et VERÔNICA SANTANA poursuivent la discussion autour de leurs actions au Brésil concernant la lutte pour l’agriculture familiale, l’agroécologie, la souveraineté alimentaire, le patrimoine alimentaire des peuples indigènes et des paysanEs brésilienNEs. A partir du prisme anti-colonial, Tainá, Fernanda et Verônica nous invitent cette fois à nous interroger sur l’alimentation : Poison ou aliment ? En quoi un aliment est-il sain ? Et pour qui ?

Le Cycle de rencontres online est proposé par Lado Brasil en partenariat avec les organisations brésiliennes: « Ponto de Cultura Som dos Maracás- Instituto Indígena Brasileiro para Propriedade Intelectual (INBRAPI), Ponto de Cultura Alimentar Iacitatá et Movimento de Mulheres Trabalhadoras Rurais do Nordeste-MMTR-NE.

Co-organisateurs en France : Collectif Autonomie Alimentaire Grenoble (dont Lado Brasil fait partie), France Amérique Latine-FAL – Comité Solidarités Paysannes Internationales

Partenaires : Maison de la Nature et de l’environnement de l’Isère; Confédération Paysanne et Colectivo Zompopo

La vidéoconférence sera transmise sur les réseaux sociaux, accessible en ligne à tout public

Diffusion sur :

Vous pouvez soutenir les organisations partenaires brésiliennes en faisant un don sur le site HelloAsso :

Propulsé par HelloAsso

Vos contributions seront partagées entre les trois organisations brésiliennes liées aux intervenantes et co-organisatrices du cycle « Les femmes en première ligne pour la souveraineté alimentaire »

Nos invitées :

TAINÁ MARAJOARA porte l’ascendance du peuple Aruã Marajoara, Amazonie. Elle est cheffe cuisinière, directrice culturelle, fondatrice du Point de Culture Alimentaire IACITATA et directrice du projet CATA – Culture Alimentaire Traditionnelle Amazonienne – de l’ONG Amazônia Viva. Figure de proue du Réseau de Culture Alimentaire. Elle s’engage dans une lutte intense pour légitimer des savoirs alternatifs à partir de la « Culture Alimentaire », concept qu’elle défend en tant qu’une « épistémologie » alternative, une lutte et une pratique

Tainá Marajora est chercheuse membre du NEHO – Nucléo de Estudos en História Oral da USP, est membre de LASA – Latin American Studies Association ; Membre fondateur du Réseau de la culture alimentaire amazonienne – Réseau RAMA de la campagne permanente contre les pesticides et pour la vie ; Membre du Forum brésilien sur la sécurité et la souveraineté alimentaire, Forum national de lutte contre les effets des pesticides ; Membre de ANA – AMAZONIE, Articulation nationale de l’agroécologie/Amazonie ; Coordination nationale de Banquetaço ; Coordination de la Conférence populaire sur la sécurité et la souveraineté alimentaires ; Membre de la Chambre technique de la production biologique. Coopération Allemagne et État du Pará.

FERNANDA KAINGANG appartient au Peuple Kaingáng du Sud du Brésil. Avocate militante au sein du mouvement autochtone depuis 2000. Spécialiste en droits des peuples amérindiens et protection du patrimoine culturel, matériel et immatériel. Conseillère juridique d’organisations amérindiennes et consultante pour des organismes de coopération internationale et différents organes des Nations Unies, Fernanda Kaingang est Membre fondatrice et directrice exécutive de l’Institut indigène brésilien pour la propriété intellectuelle (INBRAPI) et conseillère juridique pour les organisations indigènes dans les cinq régions du Brésil. Elle travaille avec les Points de Culture Kanhgág Jãre et Som dos Maracás dans l’État du Rio Grande do Sul

Fernanda a été consultante pour la Coopération allemande (GIZ) de novembre 2011 à novembre 2012 sur le thème de l’accès et de la protection des savoirs traditionnels, des ressources génétiques et de la répartition juste et équitable des avantages tirés de leur utilisation. Depuis 2004, elle participe aux réunions de la Convention sur la diversité biologique (CDB), au sein des Nations Unies (ONU).

VERÔNICA SANTANA Agricultrice, éducatrice populaire féministe, militante des mouvements et collectifs féministes travaillant dans le domaine de l’agroécologie, du féminisme rural et de la mobilisation politique. Elle est militante du Mouvement des femmes travailleuses rurales du Nord-Est, œuvrant dans les États du Nord-Est et occupant divers espaces institutionnels de dimension nationale et internationale. Ancien membre de la Commission nationale d’agroécologie et de production biologique – CNAPO et conseillère du Conseil national de la sécurité alimentaire et nutritionnelle – CONSEA lors du dernier mandat.

Au sein du Mouvement des Femmes Travailleuse Rurales du Nordeste MMRT-NE, elle lutte contre les mentalités de soumission et s’engage dans l’organisation et la mobilisation des femmes rurales. Elle agit dans les luttes pour la reconnaissance des travailleurs ruraux, pour la participation des femmes à la politique, et en défense de la souveraineté alimentaire, de l’agroécologie et de l’autonomie des peuples. Elle participe avec le Mouvement des Femmes Rurales du Nordeste à la mise en place de politiques publiques en faveur de l’agriculture familiale et des femmes.  

LES CULTURES ORIGINELLES ET TRADITIONNELLES ET L’ANTI-COLONIALISME ALIMENTAIRE

Vidéoconférence 16 octobre 2020

1ère vidéoconférence du Cycle
“Les femmes en première ligne pour la souveraineté alimentaire »

Vendredi 16 octobre 2020 à 19h : Vidéoconférence en portugais avec traduction en français.

« Manger est un acte politique, révolutionnaire et culturel » Tainá Marajoara.

Pour la Journée Mondial de l’Alimentaire nous invitons des femmes indigènes et des femmes rurales du Brésil pour une vidéoconférence suivi d’un moment de discussion. TAINÁ MARAJOARA, FERNANDA KAINGANG et VERÔNICA SANTANA échangeront autour de leurs actions au Brésil concernant la lutte pour l’agriculture familiale, l’agroécologie, la souveraineté alimentaire, le patrimoine alimentaire des peuples indigènes et des paysanEs brésilienNEs. Cela alimentera nos réflexions sur la notion de «Anti-colonialisme Alimentaire »et ses enjeux internationaux. EMILIE LOISON de la Confédération Paysanne apportera son éclairage sur le contexte des femmes paysannes et du rôle de l’agriculture paysanne dans la transition alimentaire sur notre territoire

Cet évènement est co-organisé par Lado Brasil avec le Collectif Autonomie Alimentaire Grenoble (dont elle fait partie) et France Amérique Latine-FAL Comité Solidarités Paysannes Internationales.

Cette vidéoconférence est la première d’un cycle de rencontres online « Les femmes en première ligne pour la souveraineté alimentaire », proposé par Lado Brasil en partenariat avec les organisations brésiliennes: « Ponto de Cultura Som dos Maracás – Instituto Indígena Brasileiro para Propriedade Intelectual (INBRAPI), Ponto de Cultura Alimentar Iacitatá et Movimento de Mulheres Trabalhadoras Rurais do Nordeste – MMTR-NE.

Ils sont nos partenaires : Maison de la Nature et de l’Environnement de l’Isère, Confédération Paysanne et Colectivo Zompopo

La vidéoconférence sera transmise sur les réseaux sociaux, accessible en ligne à tout public

Diffusion : www.facebook.com/assoladobrasil

Vous pouvez soutenir les organisations partenaires brésiliennes en faisant un don sur le site HelloAsso :

Propulsé par HelloAsso

Vos contributions seront partagées entre les trois organisations brésiliennes liées aux intervenantes et co-organisatrices du cycle « Les femmes en première ligne pour la souveraineté alimentaire »

Nos invitées :

TAINÁ MARAJOARA porte l’ascendance du peuple Aruã Marajoara, Amazonie. Elle est cheffe cuisinière, directrice culturelle, fondatrice du Point de Culture Alimentaire IACITATA et directrice du projet CATA – Culture Alimentaire Traditionnelle Amazonienne – de l’ONG Amazônia Viva. Figure de proue du Réseau de Culture Alimentaire. Elle s’engage dans une lutte intense pour légitimer des savoirs alternatifs à partir de la « Culture Alimentaire », concept qu’elle défend en tant qu’une « épistémologie » alternative, une lutte et une pratique

Tainá Marajora est chercheuse membre du NEHO – Nucléo de Estudos en História Oral da USP, est membre de LASA – Latin American Studies Association ; Membre fondateur du Réseau de la culture alimentaire amazonienne – Réseau RAMA de la campagne permanente contre les pesticides et pour la vie ; Membre du Forum brésilien sur la sécurité et la souveraineté alimentaire, Forum national de lutte contre les effets des pesticides ; Membre de ANA – AMAZONIE, Articulation nationale de l’agroécologie/Amazonie ; Coordination nationale de Banquetaço ; Coordination de la Conférence populaire sur la sécurité et la souveraineté alimentaires ; Membre de la Chambre technique de la production biologique. Coopération Allemagne et État du Pará.

FERNANDA KAINGANG appartient au Peuple Kaingáng du Sud du Brésil. Avocate militante au sein du mouvement autochtone depuis 2000. Spécialiste en droits des peuples amérindiens et protection du patrimoine culturel, matériel et immatériel. Conseillère juridique d’organisations amérindiennes et consultante pour des organismes de coopération internationale et différents organes des Nations Unies, Fernanda Kaingang est Membre fondatrice et directrice exécutive de l’Institut indigène brésilien pour la propriété intellectuelle (INBRAPI) et conseillère juridique pour les organisations indigènes dans les cinq régions du Brésil. Elle travaille avec les Points de Culture Kanhgág Jãre et Som dos Maracás dans l’État du Rio Grande do Sul

Fernanda a été consultante pour la Coopération allemande (GIZ) de novembre 2011 à novembre 2012 sur le thème de l’accès et de la protection des savoirs traditionnels, des ressources génétiques et de la répartition juste et équitable des avantages tirés de leur utilisation. Depuis 2004, elle participe aux réunions de la Convention sur la diversité biologique (CDB), au sein des Nations Unies (ONU).

VERÔNICA SANTANA Agricultrice, éducatrice populaire féministe, militante des mouvements et collectifs féministes travaillant dans le domaine de l’agroécologie, du féminisme rural et de la mobilisation politique. Elle est militante du Mouvement des femmes travailleuses rurales du Nord-Est, œuvrant dans les États du Nord-Est et occupant divers espaces institutionnels de dimension nationale et internationale. Ancien membre de la Commission nationale d’agroécologie et de production biologique – CNAPO et conseillère du Conseil national de la sécurité alimentaire et nutritionnelle – CONSEA lors du dernier mandat.

Au sein du Mouvement des Femmes Travailleuse Rurales du Nordeste MMRT-NE, elle lutte contre les mentalités de soumission et s’engage dans l’organisation et la mobilisation des femmes rurales. Elle agit dans les luttes pour la reconnaissance des travailleurs ruraux, pour la participation des femmes à la politique, et en défense de la souveraineté alimentaire, de l’agroécologie et de l’autonomie des peuples. Elle participe avec le Mouvement des Femmes Rurales du Nordeste à la mise en place de politiques publiques en faveur de l’agriculture familiale et des femmes.  

EMILIE LOISON de la Confédération Paysanne des Bouches-du-Rhône – France.